Le
résumé des vacances ne serait pas complet sans la catégorie "bonus"
avec quelques clichés pris ça et là sur Palawan. Véritable emblème des
Philippines, la bière San Miguel est quasiment moins chère que de l'eau
sur El Nido, ou alors pas loin du tout. Mais il y a mieux, il y a le
rhum Tanduay qui lui est réellement servi à un prix défiant toute
concurrence dans les bars. Attention aux pertes de mémoire ou aux
problèmes de vue après en avoir siroté trop longuement, il est
indispensable de le boire avec des petits citrons verts ou un Coca.
Une
spécialité culinaire locale, le cochon embroché. Comme vous pouvez le
voir sur la photo, il s'agit de faire passer une broche (généralement un
bambou dans les campagnes ou une tige de métal) dans le corps de l'animal. Que les membres
de la SPA se rassurent, le cochon est d'abord tué avant de terminer sur
la broche.
Wanted! Une fois de plus, le passage des soldats américains dans le coin à
laissé des traces. On ne sait pas s'il y a une récompense ou s'il est
recherché "dead or alive" mais le jeune Mateo en question est
accusé de vol de bétail. L'affiche donne de nombreux éléments parmi lesquels sa date de naissance, son signalement,
l'emplacement de sa tache de naissance et même le numéro de sa femme.
Elle est rédigée en anglais, ce qui est d'autant plus surprenant dans ce pays.
Nous
avons croisé quelques embarcations de petits plongeurs, sûrement à la
recherche de coquillages ou de perles. Ils sont très débrouillards et les
jeunes sont mis à contribution assez rapidement.
Perchée
sur un îlot rocheux, une croix de l’Église catholique se dressait
devant nous. Plutôt étrange de voir cela ici, surtout quand on connaît la difficulté à gravir ces petites montagnes. La foi donne des ailes.
Non,
ce n'est pas à cause d'un dégazage sauvage que ces coquillages sont
recouverts d'une substance visqueuse noire. En réalité, les
habitants de ces mêmes coquillages immaculés sont cette substance.
Un sorte de ying & de yang sous la forme d'un coquillage appelé Ovula Ovum.
Lors
de notre plongée, nous nous sommes arrêtés sur une île magnifique (la
carte postale numéro deux du post 2/3) où de drôles de petites choses
flottaient autour de nous. Ce n'étaient malheureusement pas de délicieux cannelés
envoyés par des dieux connaisseurs mais des mini-méduses. Il y en avait
énormément, flottant à la surface de l'eau au gré des courants.
Depuis
notre bar surplombant la colline, un habitant reptilien se donnait en
spectacle à la tombée de la nuit. Ce joli gecko tokay profitait de la lumière
pour faire un festin se régalant des moustiques et autres petits
insectes volants.
"Jésus est notre bouclier - Jésus, le guérisseur" tout est dit par le bon
Renato Carillo, apôtre et voix de Jésus aux Philippines. Si vous ne
pouvez pas venir assister à la grande messe, vous pouvez toujours
regarder sur votre télévision ou sur le site internet. Pas de doutes, les nouvelles technologies sont utilisées à bon escient pour apporter la bonne nouvelle.
Animal peu commun, voici un bearcat ou chat-ours. Je croyais qu'une telle créature ne pouvait venir que de l'imaginaire des créateurs de South Park, mais non,
les Philippines sont là pour nous surprendre. L'animal en question est
relativement docile puisque nous en avons vu un autre en semi-liberté
dans la ferme à papillon, sans aucun enclos. En clair, il a pris les meilleurs caractéristiques de chaque animal : l’apparence d'un ours avec une jolie fourrure et la nonchalance d'un chat, toujours en train de dormir. Un équilibre délicat en l'espèce.
Haaaa, les aéroports philippins... Une grande cohue où se croisent les voyageurs de tous horizons !
Déjà l'heure du départ, retour sur Singapour l'après-midi avant de reprendre l'avion le jour d'après en direction de Paris. La semaine fut trop courte, comme c'est souvent le cas pendant les vacances, mais ce fut l'occasion de faire une véritable coupure avec le boulot. Les Philippines restent une destination formidable malgré les contraintes logistiques des déplacements.
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